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C'était donc ça, jouir ?!...

Ecrit par scorpion
Parue le 04 octobre 2012
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Cette histoire érotique a été lue 2991 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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Elle se prénomme Julia, c’était avant, avant l’orage, avant la suprême émotion, elle était active disciplinée positive ambitieuse, ne s’occupait que de sa personne, du coup ne jugeait personne mais ne culpabilisait pas non plus. Elle s'éprend vite et abandonne tout aussi vite peut répondre favorablement à ses désirs aussi promptement et facilement qu’ils sont inattendus et violents. Mais cela doit être court et l’heure est rarement à la bagatelle.
Elle est tout à ses études et ses moments d’abstinences peuvent durer … jusqu’à deux mois parfois. Elle a l’indépendance des belle femmes, elle vit seule c’est plus pratique, elle a 22ans, dans sa tête parfois plus, parfois moins, et quand un homme à son gout passe sous son regard, et donc que ses plans sont mis à mal, elle tente toujours de repousser ses envies naissantes.

Cependant, si une belle image masculine s’est figée dans un coin de son cerveau, elle sait qu’elle ne tardera pas, tôt ou tard à refaire surface, et au moment le moins opportun... elle le sait.
Comme pour toutes les femmes, quand le désir s’invite, insolent effronté, que la raison s’incline, le parfum d’un homme, une démarche, une voix, tout peut la faire chavirer, elle en a maintenant l’habitude depuis que la vie la faite femme. Elle résiste jusqu’au soir et si le feu ne s’est pas éteint, sa main experte remplacera l’absence d'un homme, tout naturellement, ainsi va la vie. Dans ces moments là, elle aime son corps, sa propre odeur, ses seins, ses fesses, son nez, elle accepte la jouissance avec délectation. Demain, le corps calmé, elle se remettra à ses études. Il le faut, la jeune étudiante s’est fixé des objectifs ambitieux qui ne lui permettent plus comme au temps du lycée, de se laisser séduire le temps d’un ciné.

Julia est ravissante, d’une beauté cruelle pour ses congénères ce qui l’a parfois bridé quant aux relations qu’elle aurait pu tisser avec des amies filles. Elle l’a comprise très tôt en lisant le regard de ses copains de classe qui la dévisageaient, tout émus de constater qu’autant de beauté, de raffinement pouvait se concentrer en un seul être.
Les ados de sa périphérie en étaient pour leurs frais. Julia n’en usait ni n’en abusait, elle était en ces temps là, simple spectatrice presque étonnée d’attirer autant de regards garçons.

Le fait est que maintenant, l’effet que provoquait sa beauté sur l’être humain n’était plus anodin puisque désormais, Julia en était elle-même la victime gênée. Il n’était pas rare en effet, que Julia soit attirée par son propre reflet et que cet émoi déclenche un joli gargouilli en son ventre bien que tentant de s’en défendre, toutes narines frémissantes.
Ce n’était pas un combat à mener, juste une taquinerie espiègle de la vie qu’il fallait savoir gérer en tout lieu.
Elle n’en était plus étonnée, puisqu'elle’ elle avait surpris certains sourires, certains regards féminins de sa classe, qui semblaient lui proposer plus que de l’amitié.

Que dire de plus ,…que son nez était délicieusement dessiné, sa bouche charnue à souhait en garantissait le trait que les rondeurs s'étaient installées juste où il le fallait, que ses oreilles, ses joues, ses cheveux courts lui offraient un cachet supplémentaire.
Son air mutin, parfois absent, hautin ou absorbé pouvait décourager bien des prétendants. Seul un joli sourire, jamais calculé, enjôleur à souhait, pouvait changer la donne, quand il paraissait vous être attribué.
Il faisait naitre de folles espérances à quiconque s'en était repu. Même le doigt qu'elle passait naïvement mais énergiquement sous ses narines afin d'apaiser une démangeaison fugace pouvait être interprété comme une invitation à venir jouer avec elle.
Quel événement pouvait bien venir ébranler une telle quiétude, une telle assurance, faire douter une telle beauté ?

Un homme !... un jeune homme aperçu dans la rue, dans ses âges, juste un peu plus grand sans doute, un visage agréable certes, mais qui ne l'avait pas titillé plus que cela. Si ! Le regard peut être, qu'il lui avait lancé au moment où elle s'apprêtait à enfourner, pressée, une viennoiserie achetée au coin de la rue. Dis donc gourmande, avait il semblé lui dire à cet instant, juste un regard en coin, coquin, amusé.

Tout de suite oublié? Pas vraiment. Il s'était invité la nuit suivante dans un de ces rêves qui vous laisse la journée qui suit, des souvenirs de caresses, d'odeurs, de mains qui se cherchent et dont on ne se débarrasse qu’à la nuit revenue.
Cette fois les nuits suivantes, avaient été souvent courtisées par ce jeune garçon qui s’était moqué de son appétit. Le matin, depuis quelques jours Julia évitait son visage dans le miroir, contrariée de devoir expliquer à la beauté qui lui faisait face, pourquoi elle s’était sentie toute chose, pourquoi l’humidité s’était emparé de son vagin, pourquoi sa main droite gardait des traces d’odeurs enivrantes, pourquoi son corps s’était raidi puis détendu, pourquoi le bout de ses seins réagissaient plus que vite qu’à l'accoutumée à la moindre émotion. Il fallait s’y résoudre, la nature semblait rappeler à Julia que les choses du sexe désormais devaient compter davantage dans sa vie. La nature saurait le lui signifier autant de fois que bon lui semblerait.

Au comptoir de la cafet. Il rédigeait un sms sans la voir mais Julia s’était attardée cette fois sur ce visage qu’elle reconnaissait maintenant, s’étant invité maintes fois au milieu de ses nuits. Situation particulière de se sentir l’intime d’une personne parfaitement inconnue. Il l’a vit… et cette fois, à travers les fenêtres et les miroirs, elle avait reconnu, venant du jeune homme, les mêmes regards gorgés de désirs que lui adressaient maladroitement ses petits prétendants d’antan.
Laisser naitre un sourire sur son visage divin, était tout ce qu’elle était prête à accorder à ce minet des amphis qui venait maintenant déranger ses nuits depuis trop longtemps.

Tu le connais ce type ? lui avait demandée une amie, des copines de 3ème année l’appelle le bien monté !avait elle ajouté, songeuse et attendrie.
Mais qu’ont-elles toutes avec la taille du sexe ? Les garçons qu’elle avait connus, lui faisaient perdre toute retenue pendant qu’ils la prenaient, ils étaient à son gout, normalement dotés et puis voila ! C’était bon, que recherchaient-elles d’autre ?

Ils mirent du temps à s’apprivoiser finirent par se côtoyer se parler. Puis un jour, il y eu rencontre ! Ils discutèrent un peu presque nonchalamment sans y mettre plus d’empressement que cela afin de ne pas se dévoiler trop vite, de ne pas subir l’affront d’une déconvenue sans doute. Mais il ne résistait pas longtemps, et risquait une invitation. Il lui proposait de venir assister à un match de foot, dans lequel il jouait bien entendu. Elle était piégée, ses hormones avaient dit oui sans qu’elle ait vraiment eu le temps d’analyser la situation. Le travail ne manquait pas, ses révisions prenaient du retard, mais elle ne pu que répondre : oui pourquoi pas … Le foot ne l’avait jamais passionné, mais le spectacle de ces jeunes mâles qui se tiraient la bourre, était assez tentant. Julia avait parfois l’impression qu’ils se battaient pour les faveurs d’une femme. Qui serait l’heureux élu ? Un seul homme ou l’équipe toute entière ?Et quelle femme était convoitée ? Julia se sentait l’espace d’un instant prête à s’offrir à tous, le feu la gagnait il fallait choisir : mettre un terme à tout ça, ou se laisser mener et tout accepter. Elle pensait avoir quitté le stade à temps mais il l’avait rejoint. Ça t’a plus ? – beaucoup, charmant ! Il l’avait plutôt mal pris pourtant Julia l’avait pensé au sens propre du terme, le charme avait vraiment opéré sur elle.

C’est elle qui lui avait proposé de le ramener, et même de lui offrir un verre, elle jouait avec le feu, se sentait peut être encore capable de résister aux propositions à peine déguisées de son prétendant. Il était encore tout collant de ses efforts sportifs et c’est tout naturellement qu’elle lui proposa sa douche. Dans l’appartement de Julia régnait désormais une forte ambiance d’amour, la jeunesse de ces deux être exigeait qu'ils se rencontrent c'était dans l'ordre des choses les hormones les fantasmes l'érotisme étaient sur le devant de la scène et gagneraient la partie avant la fin de la soirée. Un parfum inhabituel s’était emparé du lieu, Julia en était consciente maintenant, tout ce qu’elle avait fait dans sa vie depuis ces jours derniers, avait provoqué la venue de ce jeune homme chez elle. Elle allait lui proposer une serviette quand elle aperçu dans la vapeur de la douche le sexe de Yann ...

Ses amis n’avaient pas menti !Elle avait aperçu une belle masse épaisse et lourde qui regardait vers le sol et qui promettait de se redresser à la plus légère des sollicitations.
Son ventre gargouillait, son cerveau allait bientôt être envahi de pensées qui la mettraient à genou ... dans l'impossibilité de renoncer. Si elle ne mettait pas ce garçon à la porte tout de suite, elle ferait l’amour avec lui ce soi même .Elle lui avait proposé une boisson, ils s’étaient installés sur le canapé et tout était allé très vite.
Elle avait simplement prononcé ces mot : je ne sais pas … j’ai … je … tu es très beau .. j’ai très envie de toi …
Quand elle déclarait son désir à un homme, libre ou non, aucun n'avait pu résisté jusqu'alors. Celui-ci ne fit pas exception !. Il bredouilla un truc qu’elle ne comprit pas, et déjà elle prit sa bouche, Les langues se cherchèrent sondèrent les cavités de l’autre. Ils se sentaient, se léchaient, se frottaient, se humaient.
La difficulté était pour l’homme, de ne pas jouir immédiatement dans ses sous-vêtements, un tel déferlement de beautés de saveur de senteurs de caresses de grâce de sexe à sa merci le rendait subitement ivre d'excitation.
Puis Julia chercha l’entre jambe de son amant, trouva le morceau de chair qui allait la rendre folle, ferme et décalotté maintenant. Elle fit instinctivement les mouvements de va et vient de circonstance, se détacha de sa bouche un instant afin de contempler le membre, sa main et ses yeux n’en revenaient pas. Le garçon lui repris la tête pour la butiner à nouveau. Il avait faim de cette beauté, de ses jolies narines, de ce sourire, de cette femme splendide qu’il était en train de séduire, qui s’abandonnait à lui et qui manifestait désormais son désir de son souffle court et par de petites plaintes de femme comblée. Il avait glissé ses mains sous son soutien gorge et avait trouvé une poitrine ferme et opulente aux tétons durcis par l’envie. Il ne cessait de les câliner de les masser sans jamais quitter sa bouche, avide de baisers. Elle s’était juste détachée un instant et trouva la force de lui dire – « Tu es bon, tu sens bon, tu fais ça bien, tu es fait pour l’amour, tu m’excites, tu me … mais il avait repris sa bouche, il la léchait puis enfournait sa langue, puis les visages se faisaient face ils se dévisageaient, ils se humaient puis se collaient à nouveau goulument. Le garçon, lui communiquait toute son excitation toute sa passion, la belle sentait maintenant l’humidité envahir son sexe qui désormais prenait les commandes, elle acceptait tout, elle ne refuserait plus rien de son amant.
Ils étaient fous d’amour.

Ils s’étaient dévêtus mutuellement et quand les seins de Julia s’étaient libérés de leur carcan dentelé, il avait poussé un oooh admiratif flattant l’orgueil de la belle jeune femme qui lui avait répondu d'un sourire presque gêné. Comme un chien fou submergé par une violente gourmandise, ils s’était empressé d’aller les titiller, les lécher, le nez écrasé contre la jeune chair parfumée. Sa verge tendue s’était tout naturellement présentée à l’entrée du sexe de la belle, et sans attendre d’y être invité se fraya un passage dans la chair inondée. Ce que ressentit Julia la marqua à jamais. Un plaisir jusqu’ici inconnu pris possession de son corps. Son pénis l ‘avait rempli d’un coup. Se sachant performant, son amant contenait ses assauts, allait et venait délicatement, l’épaisseur du membre faisait le reste. Il ne fallait pas la faire chavirer trop vite.. pour elle, pour lui …ils voulaient s’aimer toute la nuit. Le oh ! qu’elle avait poussé, bouche grande ouverte, délicieusement surprise par le cadeau de chair que lui faisait son amant, s’était sans doute invité dans les studios voisins et les occupants savaient maintenant à quoi s’adonnaient ces deux êtres qui venaient de se découvrir, éperdument amoureux.
Le vagin de Julia semblait déguster le sexe de yann, elle avait pris les commandes et sur lui, les yeux mi-clos imposait son rythme en offrant à son homme le spectacle enivrant des ses seins, sublimes, libres qui ballotaient au gré des ondulations des corps. Le jeune homme ne perdait pas une goute du spectacle qui lui était offert. De ses narines qui frémissaient, du parfum qui s'en échappait, de sa bouche qui parfois se pinçait délicatement ou s’ouvrait grande, interloquée, laissant s’échapper un souffle chaud et sonore. A chaque enfournement les fesses de Julia allaient toucher les belles testicules du garçon et au contacte des deux pubis le membre de Yann avantageusement proportionné, à chaque butée se relevait. Il allait solliciter davantage la paroi déjà dilatée du vagin de sa belle, envoyant du même coup une décharge d’amour vers son clitoris qui ne s’était jamais encore fait courtisé de la sorte.

C’est alors que que yann lui pris la nuque, la renversa, se retrouva au dessus d’elle. Il n’avait plus qu’un idée en tête : la féconder ! Ses assauts devinrent plus puissants, il ne calculait plus, était emporté par son désir qu’il ne contrôlait plus. Il était chez lui dans le corps de julia, ne demandait plus aucune permission aucune ne prenait plus aucune précaution, il la prenait, la culbutait, la baisait. Julia pressait de ses mains les lobes fessiers de son amant, accompagnait ses coup de boutoir tout en lui adressant des louanges quand son souffle le lui permettait.
Oh que c’est booon ouiiii bon c’est booon, encooore c’est fort humm, merveilleux, continue, toujours toumour, nieen ouii ooh, ha bour, cur, mour, oh mouiiii son cerveau ne vivait plus que pour la baise et ne corrigeait plus le flot d’incongruités qui s’échappait de sa bouche ravie.
Elle agrippait son homme, le nez écrasé contre son corps, grimaçant, geignant, se délectant de sa chair …

Le torrent de plaisir déferla !... surprise, abasourdie, secouée par l’orgasme qui l’étreignait. Le soubresauts de son corps durèrent longtemps, ponctués de petits cris de oooh ... mouiii ... … sa voix s’étouffait dans les hoquets d'un dernier : je t'aime...

Les pommettes rougies par le plaisir; La tète au creux de son cou, elle goutait la sueur de son amant puis remontait sur ses lèvres , suçait la langue qu’il lui offrait . Elle avait senti le jet de sperme lui tapisser le fond du vagin alors qu'il il lui glissait au crue de l’oreille : tiens, ... c’est pour toi, je te fais notre bébé… elle avait été à 2 doigts de perdre connaissance.

C’était donc ça, jouir ?! jouir et se repaitre des assauts d’un homme qui ne vous veut que du plaisir, essoufflée fatiguée sereine apaisé rassasiée, émue et fière d’avoir été l’objet d’autant de désir.
Ils eurent beaucoup de mal à penser à autre chose que leur sexe, leur désir, leur corps. Ils restèrent 3 jours ensemble, collés, obéissant à toutes leurs pulsions. Leurs corps rassasiés, acceptèrent enfin de se séparer de se vêtir, sortir , respirer un autre air que le leur.

Puis ils allèrent diner se contemplèrent souvent, longtemps, attendris, courbaturés, après ce que la vie leur avait offert ces dernières heures.
Ils regagnèrent le nid .. le feu qui couvait, titillait leur sens à nouveau …



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